Université peu polaire et chaleureuse

A Liège, "Cité ardente", ce n'est donc pas pour rien !

L'UPP se veut ...
* Réflexion citoyenne globale critique
* relocalisée et décalée
* où la convivialité(1) est au coeur de la démarche !

Historique de l'Université populaire


En France, la première version de l'Université populaire date de la fin du XIXe siècle, à l'époque de l'Affaire Dreyfus. Des professeurs, des intellectuels, des historiens, des écrivains, des philosophes y proposaient des cours gratuits à destination de ce qu'il était convenu alors d'appeler la classe ouvrière. La seconde version vise des objectifs semblables bien qu'actualisés : démocratiser la culture et dispenser gratuitement un savoir au plus grand nombre. La culture y est vécue comme un auxiliaire de la construction de soi, non comme une occasion de signature sociale.


L'initiative de Michel Onfray

L'université populaire telle qu'imaginée par Michel Onfray retient de l'université traditionnelle la qualité des informations transmises, le principe du cycle qui permet d'envisager une progression personnelle, la nécessité d'un contenu transmis en amont de tout débat. Elle garde du café philosophique l'ouverture à tous les publics, l'usage critique des savoirs, l'interactivité et la pratique du dialogue comme moyen d'accéder au contenu. http://upc.michelonfray.fr/



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(1) Convivialité : hospitalité + hédonisme.

Dans Marges philosphiques, de l'Université populaire de Caen, aux Editions Pleins Feux -Nantes, 2009, voici deux éléments à relever sur la convivialité.

Page 44, Séverine Auffret, philosophe et membre de l'Université populaire de Caen, insiste sur l'importance de l'hospitalité... dont la traduction en grec - philoxenia - est l'exact inverse de xénophobie.

Dans la Préface, Michel Onfray, quant à lui, insiste sur l'importance de l'hédonisme comme approche critique du pouvoir.

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